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Christine Le Guern Prigent, Directrice déléguée, Les Petits Bilingues
“Nous avons retravaillé notre concept avec plusieurs types de contrat de franchise, pour permettre à chaque typologie de candidat d’y aller par étapes“, explique Christine Le Guern Prigent, Directrice déléguée de la franchise Les Petits Bilingues. (Crédit photo : @frederiquejouvin)
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Sommaire
- Pouvez-vous nous présenter l’enseigne Les Petits Bilingues ? Quelle est son activité et quelles ont été les grandes étapes de son développement depuis sa création ?(00:14)
- Où en est le développement de l’enseigne et quels sont vos objectifs de développement pour 2025 ?(02:24)
- C’est le moment peut-être sur les profils de franchisé que vous recherchez. Vous me parliez du modèle historique avec plusieurs centres sur la même ville. Quels sont les autres modèles ?(03:58)
- Alors précisément, vous venez de parler d’investissement. Quels sont les investissements à prévoir pour ces différents modèles ?(07:23)
- Quand il y a besoin d’un emplacement pour ouvrir un centre physique, quel type de locaux vous recherchez ?(08:24)
- Et pour finir, quel conseil vous pourriez donner à un porteur de projet, homme ou femme qui hésiterait à se lancer dans votre activité ?(09:21)
Christine Le Guern Prigent, bonjour. Vous êtes Directrice déléguée de la franchise Les Petits Bilingues. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise magazine.
Bonjour.
Pouvez-vous nous présenter l’enseigne Les Petits Bilingues ? Quelle est son activité et quelles ont été les grandes étapes de son développement depuis sa création ?
Les Petits Bilingues existe depuis 1992, donc c’est une vieille dame, on pourrait dire ça, mais avec effectivement une actualité et un renouvellement permanent de son concept depuis l’origine. La première idée par son fondateur, c’était une idée de dire : Apprendre le plus tôt possible aux enfants l’anglais, c’est quelque chose de fondamental pour développer quelque part l’apprentissage non seulement de la langue anglaise, mais des langues en général. Ça, c’est quelque chose, une vague qui ne s’est jamais arrêtée, qui continue d’être une vague importante. Il y avait un seul produit et avec ça, ça a mené très loin déjà les petits bilingues. Ensuite, en 2007-2008, c’est vraiment l’aventure franchise qui s’adosse au modèle Les Petits Bilingues. Et dans cette aventure, finalement, il y a toute une ingénierie pédagogique qui s’adosse au modèle. C’est vraiment notre savoir-faire d’avoir une pédagogie sans cesse renouvelée. On renouvelle tous nos contenus tous les ans. Donc ça, depuis cette époque, je dirais, du deuxième propriétaire de l’enseigne, c’est ce qui a vraiment structuré totalement l’organisation dans l’entreprise et le fait que la pédagogie soit au cœur. Ensuite, au travers de ce que j’appellerais un certain nombre d’imprévus, l’entreprise a considéré finalement le fait qu’un modèle économique, et en particulier en franchise, ne doit pas dépendre d’aléas telles que des grèves de retraite, des manifestations, des attentats à Paris, enfin, tout un tas de choses absolument négatives à l’inverse qui se sont passées. Et ils se sont dit: On ne doit pas dépendre d’une seule chose. Ils ont donc repensé totalement le modèle et redéfini qui ils sont. Qui ils sont, des experts de la langue anglaise. Ça a été le premier sujet, avec des principes fondateurs tels que l’oralité, l’interactivité, des piliers pédagogiques de vraiment droit à l’erreur, l’anglais en s’amusant… Et donc aussi une diversification d’activités. Et donc, on s’est ouvert au monde des adultes. Et ça, ça nous mène en 2017. Et ensuite, le dernier grand événement, c’est 2023, avec le rachat par le groupe Oui Care, qui désormais conduit cette phase de développement important pour l’enseigne Les Petits Bilingues et les Pro-Bilingues, le monde de l’adulte. Donc, c’est cette étape dont j’ai pris la direction en 2023.
Où en est le développement de l’enseigne et quels sont vos objectifs de développement pour 2025 ?
Aujourd’hui, on surfe avec une soixantaine de centres en France métropolitaine et à La Réunion, puisqu’à La Réunion, c’est notre premier franchisé historique. On a pris le temps de bien définir ce concept et de définir comment on allait vouloir faire de la franchise avec le groupe Oui Care, parce qu’on est un franchiseur très expérimenté au travers de plusieurs marques qui sont en franchise et notamment le formidable succès d’eux deux. Quelles sont nos spécificités ? L’éducation, le côté international avec la langue anglaise et quelque chose de très commun avec le groupe Oui Care, qui est l’entrepreneuriat féminin. Quand on pose toutes ces briques, on s’est aperçu très vite dans les échanges avec les premiers candidats, puisqu’on a eu un très gros succès dès le premier Franchise Expo, qu’en fait, il y avait plusieurs attentes différentes par rapport à cette envie de devenir entrepreneur. Il y avait effectivement le modèle de l’enseigne, qui est un modèle sur une zone où on ouvre plusieurs centres, les petits bilingues, pour être au plus près des familles, notamment, puisque les gens n’aiment pas traverser toute une ville. On les comprend pour permettre à un enfant d’assister à un atelier d’une heure ou de trois heures. Ce modèle est toujours présent aujourd’hui dans notre portefeuille et nous a permis de signer nos premiers franchisés. On a une ouverture dans les prochains jours à Lille et on a des ouvertures que je ne vais pas citer pour le moment, mais qui sont sur le sud-est et sur la région Parisienne très prochainement. On a aussi fait évoluer notre réflexion, comme je vous le disais, sur deux nouveaux contrats de franchise, l’un qui est déjà opérant et l’autre qui va l’être, mais on pourra le développer un petit peu plus tard si vous le souhaitez.
C’est le moment peut-être sur les profils de franchisé que vous recherchez. Vous me parliez du modèle historique avec plusieurs centres sur la même ville. Quels sont les autres modèles ?
Si on parle des personae, effectivement, de nos profils de franchisé, on en a trois. On a un premier profil qui est un profil anglophone. La personne réside en métropole et a le souhait d’exploiter sa langue maternelle. Ils ont parfois, mais pas tous, la pédagogie également adossée à cette langue anglaise. Ils ont pu être prof d’anglais pour dire les choses un peu plus clairement. Avec cette dynamique anglo-saxonne, ils ont envie d’entreprendre. Là, pour le coup, le contrat qu’on a actuellement, investisseur est très adapté, puisque les Anglo-saxons, l’entrepreneuriat, c’est dans les gènes à la naissance. On a ces profils-là. On a un profil retour d’expat. Souvent, la prise de conscience se fait quand ils cherchent des solutions pour leur propre enfant, pour qu’ils maintiennent leur niveau d’anglais, qu’ils se rendent compte qu’il n’y a rien là où ils habitent. De là, ils creusent un peu, ils découvrent notre enseigne, ils nous contactent et ils décident d’en faire une opportunité et de s’installer en ouvrant effectivement un ou plusieurs centres. Et le troisième personae, on est dans la reconversion entrepreneuriale plus classique, avec une volonté de trouver du sens, etc. Donc, l’intérêt particulier pour la langue anglaise est au cœur des trois profils. Ce n’est pas forcément qu’on est bilingues et qu’on est fort en anglais, c’est aussi parfois parce qu’on est complexé par l’anglais et qu’on veut permettre sur le territoire d’avoir cette chance de proposer un tel service aux familles ou aux adultes pour régler les comptes, entre guillemets, parfois pour un adulte avec finalement une carence, mais qui peut tout à fait être de nouveau un atout demain si on prend le sujet un petit peu au sérieux. Au travers de ça, on a quand même une typologie d’entrepreneuriat féminin. Dans l’entrepreneuriat féminin, on a aussi parfois la volonté d’y aller par étapes. Donc, le pourquoi on a retravaillé notre concept et d’avoir plusieurs possibilités de contrats de franchise, c’est pour permettre à chacun d’y aller par étapes. La première étape qu’on a franchie déjà dès le mois de décembre, c’était d’avoir un contrat de ne pas obliger tout de suite l’implantation sur plusieurs sites, quand les gens ont ce besoin, quelque part, de réussir une première entreprise avant d’aller plus loin. Et là, on va aller un petit peu plus loin, puisque dans les prochaines semaines, nous allons avoir un contrat de micro franchise où là, on va répondre à un grand nombre de candidats qu’on a aujourd’hui qui ne veulent pas abandonner l’enseignement et qui veulent eux-mêmes être acteurs opérationnels, je dirais, éducation de leur centre et pouvoir donner des cours d’anglais, tout en éventuellement embauchant une ou deux personnes à leur côté pour dispenser les ateliers. Donc, on aura trois stratégies : un contrat, je dirais, historique d’investisseurs qui veulent couvrir une ville, qui veulent couvrir une zone avec jusqu’à quatre centres. Un contrat mono-centre. Je veux être à la tête, entre guillemets, de mon centre et le développer sur l’ensemble des activités enfants et adultes. Et un contrat micro-franchise où je souhaite aussi être enseignant et éventuellement m’adosser à quelques autres enseignants. On va être sur une zone géographique un petit peu plus petite dans le cadre de ce nouveau contrat. À chaque fois, vous avez un modèle économique différent, des investissements différents. Et on espère vraiment permettre, en particulier aux femmes qui souhaitent sauter le pas dans l’entrepreneuriat, de trouver chez nous une réponse adaptée à chacune de leurs ambitions. Parce que c’est également quelque chose qui permet de faire des sauts d’un contrat à un autre. Et j’ai envie de dire, l’ambition, elle peut aussi venir en marchant et c’est ce qu’on souhaite à ceux qui vont rejoindre nos différentes opportunités prochainement.
Alors précisément, vous venez de parler d’investissement. Quels sont les investissements à prévoir pour ces différents modèles ?
Au niveau premier d’investissement, comme je vous disais, on va le sortir dans quelques semaines, mais on risque d’être sur des investissements tout ou tout compris qui seront inférieurs à 20 000 €. Sur le deuxième niveau, quand on est sur un seul centre, on va être sans doute autour de 60, 70 000 € avec l’ensemble des modalités, y compris la trésorerie de démarrage. Et quand on est sur le modèle multi, comme je vous disais, on est plus proche de 100 000 € avec encore une fois, tout l’ensemble des modalités. Donc, pour ce qui est des modalités du contrat historique, par exemple, on va être sur 16 000 € de droits d’entrée, 10 500 € d’accompagnement, formation au départ. Mais bien sûr, après, il faut aménager son centre. Il y a un certain nombre d’équipements, de communication de lancement, etc. C’est ce qui fait qu’à la fin, on arrive à cette enveloppe, mais la partie vraiment apport du franchisé financier sur le modèle, on va dire, le plus ambitieux, c’est autour de 20, 25 000 € d’apport personnel.
Quand il y a besoin d’un emplacement pour ouvrir un centre physique, quel type de locaux vous recherchez ?
Ça va aussi dépendre, c’est ce que je vous disais, des trois modèles dont on parle. Sur le premier modèle, qui sera plutôt de la micro-franchise, on peut très bien envisager de travailler sur des espaces de coworking où celui qui va donner les cours va louer des salles sur les temps, notamment le mercredi, toute la journée, le samedi matin et d’autres temps pour les adultes. Là, on va être vraiment sûr de la location ponctuelle par rapport à ces créneaux-là. Quand on est sur le modèle le plus ambitieux, là, on va être sur une recherche d’un local entre 100 et 125 mètres carrés. Idéalement, sur le premier centre, c’est bien d’être en vitrine, secteur 1 bis. Ce qui va être important chez nous, c’est d’être en capacité de déposer des enfants en bas âge en toute sécurité. Ça, ça va être forcément quelque chose d’important de permettre à un enfant de quatre ans, par exemple, d’être déposé par ses parents au moment du début des ateliers et de venir les récupérer à la fin.
Et pour finir, quel conseil vous pourriez donner à un porteur de projet, homme ou femme qui hésiterait à se lancer dans votre activité ?
La première chose qu’on a fait quand on est arrivé en 2023, c’est échanger avec chacun de nos franchisés et leur demander : Qu’est-ce qui fait à un moment donné, en 2007, en 2008, en 2022, que vous avez choisi de sauter le pas et de rejoindre la famille Les Petits Bilingues, comme on l’appelle. Ils ont tous parlé à un moment donné d’un coup de cœur et d’une évidence pour eux. Moi, ce que je dis souvent, c’est difficile de parler de coup de cœur sans avoir un échange et une rencontre. Quand bien même la rencontre et l’échange serviraient juste à dire : Ce n’est pas pour demain, mais c’est peut-être pour plus tard, mais pour l’instant, on s’en tient là. Je pense que le premier pas à sauter, c’est vraiment de prendre contact et de faire au moins un échange téléphonique, voire une réunion de présentation. On a sur notre site internet la possibilité directement de prendre un rendez-vous pour avoir une réunion de présentation ou un échange. Ça, c’est vraiment le premier niveau, parce que sans cet échange, je pense qu’on ne peut pas savoir du tout si ça peut correspondre à qui on est et au projet à un instant T. Ensuite, vous avez, au travers du groupe Oui Care, une filiale qui s’appelle Oui Care Franchise Développement, qui accompagne depuis déjà de nombreuses années les de projets. Ce que je peux garantir, en tout cas, c’est qu’on est vraiment accompagné pas à pas sur l’ensemble des démarches, que ce soit les normes de sécurité pour accueillir du public, les banques, les différents sujets transverses, aussi les états d’âme de l’entrepreneuriat. Je dirais qu’on a vraiment construit un accompagnement qui est de très grande qualité pour permettre aux gens d’avancer en deux mois, en trois mois ou en six mois ou en un an, en fonction d’où on en est, quelque part, de son aventure et de son soin entrepreneurial.
Christine Le Guern Prigent, je vous remercie. Je rappelle que vous êtes Directrice déléguée de la franchise Les Petits Bilingues et que votre actualité est à retrouver, notamment sur les sites Franchise Magazine et AC Franchise.
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