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      Miniature-Daniel Durand-1400×1400

      5 min

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      MP3 (11.21 Mo)

      Daniel Durand, adhérent Julien d’Orcel à la tête de 4 magasins dans le Tarn et le Tarn-et-Garonne, nous raconte son parcours professionnel dans l’univers de la bijouterie et son intégration au sein du Groupement Synalia.

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      Sommaire

      Pour une écoute simplifiée de ce podcast interview de Daniel Durand, Adhérent de l’enseigne Julien d’Orcel, rendez-vous directement à la partie qui vous intéresse.

      Transcription du podcast

      Daniel Durand, bonjour. Vous êtes adhérent de l’enseigne Julien Dorcel, une enseigne du groupement Synalia. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise Magazine.

      Merci à vous de me recevoir.

      Pouvez vous nous en dire davantage à propos de votre parcours professionnel avant d’intégrer le groupement Synalia ?

      J’ai le même parcours scolaire puisque j’ai fait un IUT GEA. J’étais attiré par les chiffres, mais le commerce et le contact m’ont toujours intéressé. J’ai découvert la bijouterie en aidant mes parents qui étaient bijoutiers durant les fêtes, pendant les vacances, des choses comme ça. Et le côté bijoux, le côté vente de produits, plaisirs et fêtes m’a beaucoup attiré, tout comme la technicité des bijoux, matières, pierres serties et des montres. Et après, j’ai complété ma formation de gestion par la formation continue sur la technique de bijouterie, l’étude des pierres.

      Quel a été l’élément déclencheur qui a fait que vous avez eu envie de vous lancer dans un projet sous enseigne Julien Dorcel ?

      Le côté ensemble. Le commerçant de base, on est un peu esseulé et le fait de faire partie d’un groupement et d’une coopérative et d’une enseigne, ça permet d’avoir des contacts avec les autres, d’échanger. C’est une richesse et on se sent moins seul. Et je trouve que c’était vrai à l’époque. C’est encore plus vrai par les temps qui courent. Le monde du commerce évolue très vite et c’est intéressant de pouvoir échanger avec des collègues et d’évoluer avec eux. Ça permet d’évoluer plus vite, je pense.

      Qu’est ce qui vous a séduit dans le groupement et plus particulièrement dans cette enseigne ?

      Le côté dynamique, l’image. Et puis, il y a un en enseigne bijouterie indépendante, parce qu’on est quand même des indépendants, puisqu’on est maître de notre propre destin quelque part, il n’y en a pas tant que ça.

      En quelle année rejoint le Groupement et combien de magasins ?

      J’ai rejoint le groupement en 1985 avec un magasin à l’époque, puis un deuxième assez rapidement. Et là, actuellement, j’en suis à 4.

      dans quelle région vos magasins sont implantés ?

      Dans la région proche toulousaine, la zone arc de cercle entre Mazamet dans le Tarn et Montauban, dans le Tarn et Garonne.

      Est ce qu’il s’agissait de création de point de vente ou de reprise ?

      C’est assez variable. Il y a eu trois reprises une création, deux dans un centre ville et deux dans les centres commerciaux.

      Comment se déroule le processus d’intégration au groupement au niveau de la formation notamment ?

      Dans mon cas, ça fait un petit peu longtemps. C’était peut être moins évoluer que maintenant. Actuellement, il y a quand même un travail quand on intègre le groupement avec des stages chez un confrère bijoutier et ensuite il y a une école de formation au niveau de la coopérative et de Julien Dorcel qui permet de voir les problèmes techniques, le SAV, des choses comme ça, l’informatique qui permet d’apprendre en e-learning ou en présentiel.

      Quelles sont les conditions requises, les qualités pour devenir adhérent ?

      Pour devenir adhérent, je pense qu’il faut aimer le contact, être commerçant déjà. Et après, il n’y a pas de conditions particulières. Tout le monde est bienvenu, il n’y a pas de pré requis. C’est plutôt la volonté de vendre en bijouterie. C’est sûr que si on a des compétences en bijouterie, c’est plus simple. Peut être un peu, mais c’est un métier ou on apprend assez vite. C’est un métier de commerce. Il faut avoir un peu de financement, effectivement, mais après sinon, il n’y a pas de prérequis particulier.

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      Vos magasins sont plutôt en centre ville, en périphérie, quel surface de vente ils ont ?

      Alors c’est assez variable. Je vais de 38 mètres carrés à 95 et j’en ai 2 en centre ville et 2 centre commercial en périphérie près des Leclerc.

      Combien de salariés emploie une boutique en moyenne ?

      Ça dépend fortement du chiffre d’affaires. Ca part de trois salariés à six ou sept, ça dépend du chiffre d’affaires. Il faut compter à peu près un salarié pour 150 000 € de chiffre d’affaires je dirais à peu près.

      Quel investissement il faut prévoir pour ouvrir un magasin à l’enseigne ?

      C’est assez variable, ça va dépendre des travaux à faire, des choses comme ça, je dirais qu’il faut compter 100 000 € de stock, à peu près entre 50 000 € et 200 000 € de travaux suivant l’état du local.

      Est ce que vous avez des projets de création, de reprise de nouveaux magasins ?

      Là, moi, personnellement, aujourd’hui, je suis plutôt dans une logique de fin de carrière, d’accompagnement de salariés pour reprendre des boutiques ou des choses comme ça, sachant que j’ai personne dans ma famille qui veut reprendre l’affaire. Donc je suis plutôt dans cet esprit là.

      Et pour finir, quel conseil vous pourriez donner à un porteur de projet qui hésiterait à rejoindre le groupement Synalia ?

      Le gros intérêt de Julien Dorcel, c’est que derrière, c’est une coopérative. Et même si effectivement il y a des contraintes, comme dans toutes les franchises, et parce que sinon on ne peut pas avancer ensemble, on est quand même avant tout maître de ces contraintes puisqu’on fait partie de ceux qui décident. Et quand on s’implique dans la coopérative, on y voit toute la richesse qu’on peut apporter, qu’on en reçoit.

      Vous même, vous avez des fonctions particulières au sein de la coopérative ?

      Moi je fais partie de la commission Julien Dorcel, c’est à dire que c’est un groupe de travail de douze bijoutiers qui définit, en accord avec les gens du siège, la politique de communication, la politique commerciale. C’est vraiment un échange entre les gens de terrain, des bijoutiers comme moi et les experts du siège, expert en marketing et communication. Et la richesse d’une enseigne comme Julien Dorcel, c’est justement cet échange et cet enrichissement entre les deux positions.

      Daniel Durand Je vous remercie. Je rappelle que vous êtes adhérent de l’enseigne Julien Dorcel et que votre actualité est à retrouver notamment sur les sites Franchise Magazine et AC Franchise.

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