- Auto, moto, cycle, bateau
- Beauté, forme, bien-être, santé
- Commerce alimentaire de proximité
- Grande distribution et magasins spécialisés
- Habillement, mode, accessoires
- Habitat, Rénovation, Bâtiment
- High Tech, Techno et Electromenager
- Immobilier
- Meuble et décoration
- Restauration, cafés, hôtellerie
- Services aux particuliers et aux entreprises
- Sports, loisirs, voyage
- Fournitures et équipements pour l’hôtellerie
- Décoration d’intérieur, design, luminaires
- Achat/Vente Cash
- Thé et Café
- Destockage, Décoration Discount et Bazar
- Crêperie ET Gaufrerie
- Mercerie
- Energies renouvelables, recyclage
- Matériel et Equipements sportifs
- Restauration bio, végétarienne, végétalienne, végan, flexitarienne
- Prêt à porter Cuir
- Courtage en prêts Immobiliers
- Magasins spécialisés
- Dressing, placard et aménagement sur mesure
- Cours de langues, formation, soutien scolaire, orientation
- Crèches, garderies, animation enfantine, garde d’enfants
- Transport de personnes
- Pressings, laveries
- Multiservices à la personne (jardinage, repassage…)
- Livraison et transport
- Conseils aux entreprises, consulting, prestations aux PME, RH
- Services funéraires
- Recharge de piles, batteries, cartouche, imprimerie, reprographie
- Publicité, communication
- Entretien, nettoyage
- Aide aux personnes âgées, assistance, soins à domicile
- Courtage en travaux
- Dépannage et réparations diverses (cordonnerie)
- Courtage en crédit, assurances
- Déménagement, stockage, rangement, garde-meubles
- Agences matrimoniales
- Mandataires
- Diagnostic, coaching et relooking immo
- Agences immobilières
- Photo
- Assistance, dépannage informatique et réparation, téléphonie
- Cigarette électronique
- Multimédia électroménager
- Loisirs numériques, simulateurs
- Rénovation de l’habitat
- Piscines, spas, accessoires, paysagistes
- Stores, vérandas, vente et pose de fenêtres
- Construction de maisons individuelles
- Chauffage, sécurité, protection de l’habitat
- Bricolage, matériaux
- Plaines et parcs de jeux
- Loisirs sportifs, aquabiking
- Jouets, jeux, loisirs créatifs et éducatifs
- Restauration pizza
- Restauration salade & sandwicherie
- Restauration livraison
- Supermarchés et hypermarchés
- Produits surgelés
- Magasins bio
- Épicerie fine, gastronomie, traiteur
- Chocolatiers, confiserie
- Cavistes
- Restauration rapide
- Restauration italienne
- Restauration grills
- Restauration française
- Restauration burger
- Restauration bagel
- Hôtellerie, hôtellerie de camping
- Glaciers, salons de thé, yaourts, milkshakes
- Bars à thème, cafés, brasseries, coffee shops
- Ateliers de cuisine
- Restauration asiatique
- Papeterie, bureautique, loisirs
- Occasion, dépôt-vente, achat-vente cash
- Hard discount
- Fleurs, jardineries
- Commerce bio et équitable
- Alimentation, services et accessoires pour animaux
- Vente de véhicules neufs et d’occasion
- Réparation et remplacement de vitrages
- Location auto, moto, cycle, bateau
- Lavage auto, moto, poids-lourds, bateau
- Solderies
- Linge de maison, tissus d’ameublement
- Cuisines et bains
- Chaussures
- Prêt-à-porter femme
- Maroquinerie
- Lingerie
- Mariage
- Arts de la table, matériel de cuisine
- Salles de sport, fitness pour dames
- Librairies, journaux
- Articles de fête, cadeaux gadget
- Agence de voyage, tourisme
- Puériculture, univers du bébé
- Prêt-à-porter homme
- Prêt-à-porter mixte
- Magasins de sport et d’accessoires dédiés aux sportifs
- Audition, optique
- Santé, parapharmacie
- Parfumeries, cosmétiques
- Ameublement, salons, meubles, literie
- Salons de coiffure, soins capillaires
- Prêt-à-porter enfant
- Institut de beauté, esthétique, épilation, bronzage
- Manucure, bars à ongles
- Bijouterie fantaisie, bijouterie, horlogerie
- Amincissement, diététique
- Boulangeries, pâtisseries, terminaux de cuisson
- Jeux vidéo
- Auto, moto, cycle : Entretien, réparation, accessoires, contrôle technique, stations-services
Pascal Derouet, Franchisé, Bohébon
Pascal Derouet, franchisé Bohébon à Toulouse avec son associé Gilles Dauzet : “Nous cherchions une enseigne qui correspondait à nos attentes en termes de qualité des produits, de visuels et d’état d’esprit”.
- Flux RSS
- Deezer
- Spotify
- Apple Podcasts
- Google Podcasts
Sommaire
- Pascal Derouet, bonjour. Vous êtes Franchise Bohébon à Toulouse. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise magazine.(00:04)
- Pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre cette enseigne ?(00:13)
- Et comment est-ce que vous vous êtes orienté vers le secteur de la restauration ?(01:11)
- La franchise, c’était un choix évident pour vous ?(02:39)
- D’accord. Et vous, dans votre parcours et celui de votre associé, qu’est-ce qui a attiré l’attention des franchiseurs, BohéBon ?(03:47)
- Écoutez, je leur demanderai à l’occasion. Quelle formation il vous a apporté au démarrage ? Parce que vous, c’était une totale reconversion.(05:13)
- Trouver un local, trouver un financement, ça a été facile ou pas ?(06:40)
- Quand est-ce que le restaurant a ouvert ?(08:01)
- D’accord. Combien de personnes vous employez ?(08:31)
- Et est-ce qu’aujourd’hui, les résultats de ce premier point de vente vous permettent d’envisager peut-être d’autres projets avec l’enseigne ?(08:49)
- Pour finir, quel conseil vous pourriez donner à quelqu’un qui hésiterait à effectuer une reconversion professionnelle comme vous l’avez fait ?(09:45)
- Merci Pascal Derouet pour ces bons conseils. Je rappelle que vous êtes franchisé Bohébon à Toulouse et que l’actualité de ce réseau est à retrouver, notamment sur les sites Franchises magazine et AC Franchise.(12:00)
Pascal Derouet, bonjour. Vous êtes Franchise Bohébon à Toulouse. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise magazine.
Merci à vous pour cette invitation.
Pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre cette enseigne ?
Oui, bien sûr. Moi, j’ai un parcours professionnel qui s’est surtout déroulé dans la banque. À l’issue de mes études, moi, j’étais parti sur de la gestion et de la finance. Pendant 18 ans, j’ai travaillé dans une grande banque française avec la pratique de différents métiers. J’étais gestionnaire de patrimoine, je me suis occupé de clientèle professionnelle, directeur d’agence, formateur et également en appui des équipes en agence. Mon dernier poste dans la banque, c’était chargé d’affaires auprès des entrepreneurs, notamment sur le centre-ville de Toulouse. Et j’avais dans mon portefeuille de clients pas mal de restaurateurs et de commerçants. Et c’est un peu ce qui a éveillé mon intérêt, justement, pour l’entrepreneuriat, de suivre à tous ces chefs d’entreprises. Ça m’a donné envie de tenter autre chose au début de la quarantaine. Je me suis dit que c’était le moment ou jamais de se pencher dessus.
Et comment est-ce que vous vous êtes orienté vers le secteur de la restauration ?
J’avais, là encore, dans mon portefeuille client, des restaurateurs et j’avais un intérêt, justement, pour le côté qualité de l’alimentation. Toutes ces choses-là m’interpellaient pas mal et j’avais très envie de pouvoir partager ça avec des clients qui viendraient se restaurer chez nous, et trouver une enseigne qui correspondait à mes attentes, c’est-à-dire en termes de qualité des produits, de visuels et d’état d’esprit. Ça, c’était vraiment la vision de la restauration que j’aurais voulu, mais ce n’était pas facile de trouver. Je me suis penché avec Gilles, puisqu’on nous sommes deux franchisés et on s’est associés. C’était un ancien banquier lui aussi. On s’est penché avec Gilles sur plusieurs enseignes, mais qui ne réunissaient pas tout ce qu’on pouvait attendre, nous, de la restauration. On avait une idée un petit peu arrêtée de la chose. Lui, il connaissait des personnes qui avaient créé une jeune enseigne qui était donc beau et bon sur Toulouse. En rencontrant les différents associés fondateurs, on s’est dit : C’est exactement ce vers quoi on aimerait aller. Mais l’enseigne était très jeune et elle commençait tout juste à se pencher sur la possibilité de franchiser le concept. On avait vraiment été précurseur avec eux. Ils ont appris auprès de nous et on a beaucoup appris auprès d’eux.
La franchise, c’était un choix évident pour vous ?
Pour moi, oui. Là encore, de par mon expérience, parce que j’ai accompagné pas mal d’entrepreneurs et de restaurateurs. Il s’avère que dans le monde de la banque, on aime bien la franchise parce que c’est souvent un gage de réussite ou en tout cas un risque plus limité que se lancer en indépendant, même si on peut Il faut être issu d’une famille de restaurateurs, avoir les codes, avoir les bases, d’avoir une enseigne qui est présente au niveau national ou international. Ça donne de la visibilité. Les gens vous connaissent, connaissent vos produits. Il y a les concepts qui sont déjà éprouvés, l’organisation, les négociations aussi avec les fournisseurs. Par exemple, une redevance d’enseignes, c’est vrai que facialement, on peut se dire que ça a un coût, mais derrière, le gain en termes de temps, en termes de marge, de par les négociations auprès des fournisseurs et autres, ça paye largement cette redevance et on bénéficie en plus de l’expérience de la franchise. Et ça, on peut l’apprendre à ses dépens quand on se lance en indépendant. Et c’est pour ça que je pense que la franchise, c’est structurellement quand même un gain de temps et un gage de réussite.
D’accord. Et vous, dans votre parcours et celui de votre associé, qu’est-ce qui a attiré l’attention des franchiseurs, BohéBon ?
Je ne vais pas répondre à leur place parce qu’ils ont sûrement leurs propres critères, mais je pense que déjà, nos personnalités à chacun, on était issu du commerce. On a toujours envie que les gens passent un bon moment chez nous. C’était déjà le cas dans nos agences bancaires où la satisfaction client, elle était toujours primordiale. Après, je pense que nos qualités, peut-être aussi de gestionnaire, ce qu’on a appris dans notre parcours professionnel à chacun, dans la banque notamment. Ça nous permet d’avoir une vision en tant que gestionnaire qui était déjà éprouvée, même si c’était dans un cadre très réglementé de la banque, mais on avait sûrement aussi des bons réflexes. Donc, gérer la personnalité, l’expérience, la capacité à gérer. Après, ils nous ont fait confiance aussi parce qu’on était totalement débutant sur la partie restaurateur. Et ça reste un métier à part entière, même s’il y a beaucoup d’assemblages chez Bohébon, des produits de qualité, mais pas mal d’assemblages. Après, on a quand même la partie pâtisserie où on a encore pas mal de desserts qui sont faits maison. Ça aussi ça nous a beaucoup attiré. Pour Je vais répondre complètement à votre question, je pense que le mieux, ce serait presque de leur poser parce que je n’ai pas tous les critères, mais je pense que c’est un ensemble de tout ça, la personnalité, l’expérience et la capacité de gestion et la volonté d’avoir des clients satisfaits qui passent un bon moment chez vous et bon.
Écoutez, je leur demanderai à l’occasion. Quelle formation il vous a apporté au démarrage ? Parce que vous, c’était une totale reconversion.
C’est ça. Alors, totale reconversion, il faut savoir qu’on était vraiment les premiers franchisés. L’enseigne, vraiment, était à la croisée des chemins entre des restaurants qu’ils avaient en propre. Quand nous, on s’est lancé dans la franchise, ils en avaient déjà deux, ils ouvraient le troisième en même temps que nous sur Perpignan. Et du coup, eux-mêmes, ils apprenaient encore pour accompagner les franchisés. Donc, notre formation au sein de la franchise, ça a été en gros une quinzaine de jours pour la partie comptoir et cuisine. C’était un temps vraiment minimum pour pouvoir acquérir les compétences de base. Et la contrepartie de cette courte durée, ça a aussi été un accompagnement important. Les mois qui ont suivi, on avait la chance d’avoir la proximité géographique puisque le siège est à Toulouse. C’est vraiment une enseigne toulousaine à la base. Et du coup, le personnel du siège, que ce soit la partie cuisine, la partie gestion, la partie communication, nous ont beaucoup accompagnés au lancement. Donc, 15 jours, ça peut paraître peu, mais on a eu cette contrepartie-là qui a complètement compensé justement tout l’apprentissage dont on avait besoin pour ce nouveau métier. Aujourd’hui, les franchisés qui arrivent ont une formation beaucoup plus mais ce qui est normal, puisqu’on était les tout premiers franchisés, comme je vous disais tout à l’heure, on a beaucoup appris d’eux et je pense qu’ils ont aussi appris notre expérience et ça leur a permis d’améliorer tout cet accompagnement.
Trouver un local, trouver un financement, ça a été facile ou pas ?
Le local, là encore, on avait une enseigne toulousaine. C’est l’enseigne Bon et Bon qui nous a proposé ce local qui était vraiment premium. Pour ceux qui ne connaissent pas Toulouse, on se retrouve à une croisée entre la rue qui descend de la gare, la rue la plus commerçante de Toulouse et sur les boulevards. On sur une zone avec un fort passage piéton, pas mal de transports en commun. On a une station de métro qui est à moins de 100 mètres et on a en plus une zone de bureaux. C’était vraiment un emplacement premium. On a une terrasse qui est couverte en plus en permanence liée au bâti. La terrasse, elle est utilisable tout au long de l’année. C’est l’enseigne qui nous a trouvé ce local, qui nous l’a proposé. On l’a bien sûr accepté parce que c’était vraiment un emplacement hyper qualitatif. Et pour la partie financement, on a fait simple. On a sollicité deux établissements seulement: notre enseigne employeur, qui n’avait pas forcément le recul sur le concept, beau et bon, mais qui connaissait les porteurs de projets, Gilles et moi. Et on a démarché également la banque de l’enseigne, qui là, pour le coup, avait le recul sur le projet, sur le concept, connaissait la rentabilité même si c’était une jeune enseigne, ils avaient de la visibilité sur tout ça. Il s’avère que c’est la banque de l’enseigne qui nous a accompagnés pour ce premier restaurant.
Quand est-ce que le restaurant a ouvert ?
Il a ouvert en juin 2022, décalé de quelques jours par rapport à la date initialement prévue, parce qu’il y avait des petits ajustements de dernière minute, puisque Gilles et moi, on a aussi participé aux travaux. Il y a eu un investissement à la fois dans la formation puisqu’on apprenait le métier de restaurateur, mais on a aussi été un peu bricoleur et on a ajusté les travaux pour ouvrir le plus tôt possible et limiter les frais aussi. Donc, on a ouvert en juin 2022. Donc, ça fait un peu plus de deux ans maintenant qu’on est ouvert.
D’accord. Combien de personnes vous employez ?
En équivalent temps plein, 35 heures, on va être autour de 5, 5 et demi. Et après, comme on a pas mal de petits contrats étudiants, on se retrouve, Gilles et moi compris, à une équipe de neuf personnes à peu près, mais avec des contrats qui sont sur 15 heures ou 20 heures pour certains. On n’a que deux 35 heures en plus de Gilles et moi.
Et est-ce qu’aujourd’hui, les résultats de ce premier point de vente vous permettent d’envisager peut-être d’autres projets avec l’enseigne ?
Oui, clairement. La première année, on a dépassé une dizaine de pour cent le prévisionnel avec la rentabilité qui allait avec et on a eu une augmentation d’un peu plus de 20% sur la deuxième année. Et là, on est toujours sur une phase de croissance en début de troisième année. Depuis début juillet, on a entamé le troisième l’exercice fiscal et on est toujours sur une progression. Donc oui, ça nous permet d’envisager sereinement la suite. On n’a pas forcément voulu brûler les étapes, mais c’est la recherche d’autres remplacements sur la région toulousaine. On reste attentif à tout ça. Cette première expérience nous donne vraiment l’envie de pouvoir continuer parce que le chiffre progresse, les retours clients sont très bons et la rentabilité est là aussi. Donc tous les feux sont ouverts pour ça.
Pour finir, quel conseil vous pourriez donner à quelqu’un qui hésiterait à effectuer une reconversion professionnelle comme vous l’avez fait ?
Un, de prendre le temps et aussi de rencontrer les enseignes. Nous, c’est ce qu’on a fait. Il y a eu Bohébon, mais on a rencontré deux ou trois autres enseignes où on a vu les fondateurs aussi. Il s’avère que ça ne nous a pas convaincus, les autres concepts ou les associés fondateurs dans leur personnalité. Du coup, les conseils que je donnerais, c’est vraiment de ne pas avoir un projet par défaut. Il faut vraiment être animé par le côté entrepreneur parce que c’est un métier qui est très riche, mais qui est prenant aussi, donc il faut avoir conscience de tout ça. Rencontrer peut-être différentes enseignes pour s’assurer que le concept correspond à ce qu’on recherche. C’est vrai, quand on trouve le bon concept, il y a beaucoup moins de questions qui se posent. Moi, je sais que manger sain, c’était quelque chose d’essentiel. Donc, j’ai trouvé chez Bohébon. Les porteurs de projets, ils étaient déjà entrepreneurs sur d’autres enseignes de restauration, ils avaient cette expérience et ils étaient à l’écoute. Donc ça, ça a été un vrai plus aussi. Et c’est vrai que quand vous avez des clients qui viennent chez vous, qui sont ravis du moment qui passe, dans le bol, vous avez de la couleur, des choses de qualité, vous leur proposez des desserts faits maison et vous avez « Aloha » qui est écrit au mur.
Moi qui aime les voyages, le surf et ce côté justement healthy, je cochais toutes les cases. Comme les personnes qui portaient cette enseigne nous correspondait à Gilles et moi, le concept en lui-même et l’équipe qui constitue aussi le siège de Bohébon à Toulouse, tous ces éléments ont fait qu’on a sauté le pas sans se poser trop d’autres questions. Il faut avoir conscience que ce sera forcément un autre métier si on était salarié et qu’on passe entrepreneur. On a aussi plein de choses à gérer, c’est-à-dire que c’est les ressources humaines, c’est certes les financements, c’est la trésorerie, c’est le développement du chiffre, c’est la satisfaction des clients, la satisfaction sur Internet aussi aujourd’hui. Il faut avoir tout ça en tête et c’est très riche, mais du coup, c’est vraiment très, très intéressant. Je pense qu’il ne faut pas avoir peur, mais il faut prendre le temps de se poser les bonnes questions et d’être sûr que le choix de l’activité nous correspond.
Merci Pascal Derouet pour ces bons conseils. Je rappelle que vous êtes franchisé Bohébon à Toulouse et que l’actualité de ce réseau est à retrouver, notamment sur les sites Franchises magazine et AC Franchise.
franchiseurs en Podcast
documentation
Pour plus d'informations sur BOHEBON