Vulco, Marielle Bugeaud

4 min Publié le 28 avril 2023

Marielle Bugeaud, bonjour.

Bonjour Patrice.

Comment présenteriez-vous le réseau Vulco à quelqu’un qui ne le connaîtrait pas encore ?

Le réseau Vulco est adossé au manufacturier Goodyear. Nous sommes spécialisés dans l’entretien de l’automobile et du pneumatique. On va intervenir sur les véhicules légers, sur les poids lourds, sur les véhicules agricoles, les véhicules de manutention et aussi les véhicules de génie civil.

Comment avez-vous réussi à vous adapter à la conjoncture actuelle, je pense notamment à l’inflation ?

On a essayé d’être relativement agile et un petit peu novateur sur certains sujets. On est partis, par exemple, sur une réflexion par rapport à un atelier mobile. Ce type d’atelier mobile s’adresse à nos clients professionnels. Au lieu que ce soit eux, par exemple, qui viennent amener leurs véhicules dans les centres Vulco, c’est nous qui mettons à leur disposition un atelier qui est une sorte de container qu’on va laisser sur leur parking pendant une durée définie, sur lequel on va s’occuper de la révision, l’entretien express et les changements de pneumatiques pour toute leur flotte. C’est une des actions qu’on a mis en place pendant cette année un petit peu compliquée. On en a profité pour mettre à plat différents sujets, par exemple une carte fidélité qui va être entièrement dématérialisée et aussi d’autres outils digitaux pour optimiser le travail dans nos centres.

Est-ce que le réseau Vulco continue à se développer aujourd’hui ?

Oui, tout à fait, on continue à se développer. Le réseau Vulco est un réseau mature, donc on a quelques départs à la retraite. Malgré tout ce qui se passe en ce moment, ils sont quand même bien décidés, après toutes ces années bien méritées, de prendre la retraite. On a déjà six centres Vulco à reprendre aujourd’hui. C’est aussi ce qui justifie notre présence sur le Franchise Expo Paris. On a aussi des développements à faire sur la Bretagne, sur la région Île de France, sur la partie Bourgogne et sur la partie nord de la France. Donc, on a encore des opportunités à proposer à nos candidats.

Quels sont vos objectifs à terme de développement du réseau ?

À vrai dire, on ne s’est pas donné d’objectif. Nous, on va être très raisonnables. On est partis sur à peu près cinq ouvertures par an. On sait que le contexte actuel, avec les taux d’intérêts qui augmentent, puis un contexte peut être un petit peu anxiogène, on reste quand même très prudents par rapport à tout ça.

De quels outils, de quels services, de quels moyens disposent particulièrement les membres du réseau Vulco ?

Ils sont variés. Les outils au quotidien, par exemple, la carte de fidélité, on est en train de mettre en place la fiche diagnostique à partir d’une tablette. Je vous ai parlé aussi de l’atelier mobile. Il y a beaucoup de choses, effectivement il y a pas mal d’outils qui sont mis en place aujourd’hui dans les centres. On va plutôt être sur la partie technologie. Ça reste souvent sur la clientèle industrielle.

Est-ce que vous mesurez la satisfaction de vos clients ?

On l’a fait par le passé et c’est vrai que pour le moment, ça fait longtemps qu’on ne l’a pas fait. Je ne pourrais pas vous dire si ça va revenir à l’ordre du jour dans les prochains mois.

Et la satisfaction des membres du réseau, elle est mesurée, elle aussi ?

Elle n’est pas mesurée, mais on fait des événements toute l’année dans notre convention annuelle, qui est un moment d’échange privilégié effectivement, pour voir un petit peu, pour prendre la température de nos franchisés lors de cet événement.

Pour finir, quelles qualités recherchez-vous chez un candidat à l’adhésion au réseau Vulco ?

On va rechercher avant tout quelqu’un qui ait le sens de la satisfaction du client, qui va être vraiment très axé sur la fidélisation de celui-ci, un sens du service très poussé. Idéalement, qu’il soit déjà issu de l’univers automobile. S’il a un background, qui vienne même d’un secteur annexe à celui de l’automobile, par exemple ça peut être un dépanneur ou quelqu’un qui fait de la location de voiture. On va aller chercher des compétences en termes de management d’équipe, bien entendu, et du commerce.

Marielle Bugeaud, merci.

Merci Patrice.