Le réseau de salles de fitness L’Orange Bleue lance le développement de son enseigne au Maroc avec un master-franchisé, ancien international de rugby.
Thierry Marquer, Président-fondateur du groupe L’Orange Bleue a annoncé, lors de la convention du réseau tenue à Barcelone en juin dernier, le lancement de l’enseigne en master-franchise au Maroc avec Abdelatif Benazzi, ancien international de rugby.
Ce dernier, ancien sportif de haut niveau (78 sélections en équipe de France entre 1990 et 2001) est donc désormais en charge du développement du concept de salles de remise en forme dans son pays d’origine. Il a fait confiance à L’Orange Bleue, leader du fitness en France avec plus de 380 clubs ouverts. Fondée en 1996 à Rennes par Thierry Marquer, l’enseigne se développe également au-delà des frontières et est déjà présente en Espagne, en Suisse et au Portugal.
D’origine marocaine, Abdelatif Benazzi a toujours voulu entreprendre par le biais du sport, d’autant qu’il existe au Maroc, dont la population est jeune (à 60%) et passionnée de sport, un besoin important en matière de salles de sport. Mais pour développer son projet, il avait besoin de process et s’est donc tourné vers le réseau français. « Au premier rendez-vous est apparu une vraie communauté de valeurs entre nous, explique le nouveau master-franchisé : simplicité, humilité, transmission du savoir…et des projets qui se rejoignent, volonté d’internationalisation de l’Orange Bleue d’une part, et mon souhait d’entreprendre dans le sport d’autre part. »
Le point concernant la formation des coaches fut déterminant dans le projet car les jeunes Marocains ont besoin de formation. Basé sur ces fondamentaux, un centre pilote va être créé, qui sera le lieu de formation des jeunes et servira de référence pour le développement du réseau. Au total quatre clubs en cours de création sur Rabat, dont le pilote, et deux autres projets existent aussi sur Casablanca et sur Marrakech. « Je suis né dans la capitale de l’orange et j’ai été capitaine de l’équipe de France, souligne Abdellatif Benazzi. Que demander de plus ? »