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      Franchises de prêt-à-porter et accessoires : les créneaux à la mode

      Actu secteurs
      8 octobre 2018

      Les Français aiment la mode, et pas seulement quand elle défile sur les podiums. Alors certes, leur consommation de textile est globalement en repli. Mais ils sont nombreux à continuer de consacrer une part non négligeable de leur budget à l’achat de vêtements, chaussures et accessoires. En général, dans les réseaux d’enseignes.

      Il y a, bien sûr, les géants succursalistes : l’Espagnol Zara, franchise_pause-cafe_silhouettele Suédois H&M, le Néerlandais C&A ou encore l’Irlandais Primark. Toutefois, le marché français de la mode, ce sont aussi de nombreuses enseignes d’indépendants. La Fédération française de la franchise en recense 364 (contre seulement 195 dans l’alimentaire, par exemple), fédérant 7 114 magasins sur le territoire, pour un chiffre d’affaires global de 4,12 milliards d’euros (pour l’année 2017). Et le secteur continue de recruter.

      Prêt-à-porter : la femme en pointe

      Dans le prêt-à-porter, si l’homme n’est guère à la fête, les concepts dédiés à la femme restent fashion. En particulier quand ils sont bien ciblés. Ainsi, quand les enseignes de mass market ont du mal à résister aux offensives des grandes chaînes intégrées et du e-commerce, d’autres, au positionnement plus étudié, tiennent elles la forme. C’est le cas par exemple de Christine Laure, dont les collections habillent « la femme active de plus de 40 ans, du 38 au 52 ». Mais aussi de Pause Café, qui cible une « clientèle mûre et moderne » et rend la mode accessible aux « tailles gourmandes ». Ou encore de Cuir-City.com, venu du web et désormais à la recherche de patrons de magasins bien physiques.

      Un vestiaire enfant qui monte en gamme

      La concurrence des succursalistes et de la grande distribution, spécialisée (Kiabi, La Halle…) ou généraliste (Auchan, Carrefour, etc.) est particulièrement vivace du côté du prêt-à-porter pour enfants. Pour faire la différence, les franchises du secteur ont eu tendance à monter en gamme ces dernières années, à l’image de La Compagnie des Petits. Et à développer l’omnicanalité, devenue incontournable pour séduire et fidéliser les parents.

      Des réseaux bien dans leurs chaussures

      sac-cuir-moaLes grands réseaux sous enseignes (André, Eram, Besson, San Marina…) captent près de 40 % du marché de la chaussure, en valeur. Et, là encore, les pure players montent en puissance (environ 10 % des ventes aujourd’hui). Dans ce contexte, la prime va aux franchises de proximité haut de gamme, telles Finsbury et ses souliers cousus mains. Les mieux à même, aujourd’hui, de conserver leur clientèle.

      L’accessoire devient essentiel

      L’accessoire… accessible, ou comment se faire plaisir sans se ruiner. Tel semble être le crédo des enseignes spécialisées depuis quelques années. Bijoux, sacs, foulards et autres bonnets se déclinent dans tous les styles mais à petits prix. Comme chez Moa, la référence française du secteur, qui continue de recruter pour ouvrir de nouveaux magasins.

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