Notre objectif : passer grâce à la franchise de 57 à 100 agences Domus Vi Aide à Domicile d’ici 2021, soit un rythme de 10 à 15 unités de plus chaque année.
Quelle est l’activité du groupe Domus Vi et que représente-t-il sur le marché ?
Fort de 35 ans d’expérience dans le domaine des personnes âgées et dépendantes, Domus Vi est le 3ème opérateur français du secteur, avec 320 établissements d’hébergement pour personnes âgées et dépendantes (Ehpad) en France et en Espagne, 15 résidences seniors et 18 hôpitaux psychiatriques et centres pour handicapés.
En France, Domus Vi compte aussi 57 agences de Services d’aide à domicile (SAAD), 19 agences de Services de soins infirmiers à domicile (SSIAD, intégrées au sein de nos agences de SAAD) et 6 équipes spécialisées Alzheimer (ESA). Nous sommes le 1er groupe privé dans notre secteur à avoir investi dans ces métiers du service à domicile, afin de mieux répondre aux attentes des seniors. Aujourd’hui, 95 % des gens ne veulent pas aller en Ehpad et veulent rester chez eux, c’est pourquoi Domus Vi a décidé de développer une prise en charge globale.
Pourquoi le groupe a-t-il décidé de développer en franchise le réseau Domus Vi Aide à Domicile ?
Pour l’instant, nous exploitons nos agences en propre mais nous prévoyons de mener un développement important en vue de devenir leader avec 250 agences à terme. C’est pourquoi nous avons choisi la franchise, qui nous semble la meilleure stratégie pour gagner des parts de marché.
Après avoir travaillé pendant presque 30 ans sur nos agences d’aide à domicile, nous avons mis au point un modèle éprouvé en termes de back office et d’équipes. Pour développer ce modèle au niveau national, nous allons faire appel à la franchise afin de prendre des positions rapidement. Notre objectif : passer de 57 à 100 agences d’ici 2021, soit un rythme de 10 à 15 unités de plus chaque année.
Nous avons commencé à tester la demande et notre proposition rencontrer beaucoup de succès. Nous avons déjà signé deux premiers contrats pour ouvrir nos agences pilotes à Levallois-Perret et à Nancy.
Quels profils de franchisés recherchez-vous en priorité ?
Nous voulons recruter des franchisés bien implantés dans leur milieu social et culturel local, car tout le monde est potentiellement client dans ce métier. Pour devenir franchisé Domus Vi Aide à Domicile, il faut aussi partager nos valeurs comme la confiance, l’empathie et l’enthousiasme.
Nous recherchons des candidats avec des compétences en commercial, marketing, management et gestion d’entreprise auxquels nous dispenserons une formation de trois à quatre semaines pour leur apprendre notre métier : deux semaines de théorie et une à deux semaines en agence pilote.
A noter : nous exigeons que nos franchisés disposent d’une agence physique afin d’instaurer une relation de proximité et de confiance avec leurs clients, leurs intervenants et leurs prescripteurs. On peut implanter une agence Domus Vi Domicile dans un local à partir de 30 m², avec un front office de 10 à 15 mètres et une vitrine bien placée dans la ville, et surtout accessible pour les clients et les intervenants, plus une salle de réunion pour l’accueil clients.
Enfin, l’aide à domicile est un métier où il y a beaucoup de petites entreprises indépendantes qui parfois se tournent souvent vers nous pour bénéficier de synergies : dans le cadre de notre développement en franchise, il serait possible d’intégrer dans le réseau Domus Vi Aide à Domicile des entreprises comme cela.
Devenir franchisé Domus Vi Aide à Domicile, combien ça coûte ?
Dans ce domaine, il n’y a pas beaucoup d’investissement à prévoir. Domus Vi Aide à Domicile demande un droit d’entrée de 25 000 €, variable en fonction du potentiel de la zone, auquel s’ajoutent 10 000 € pour la formation initiale et 15 000 € pour la communication de lancement et moins de 20 000 € pour l’aménagement, le mobilier, le matériel et les travaux.
On peut donc devenir franchisé Domus Aide à Vi Domicile avec 20 000 € d’apport personnel et 70 000 € de financement bancaire.
Article paru dans le numéro 268 de la Revue Numérique – Lisez plus d’articles du numéro 268 en cliquant sur ce lien