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      Le marché du meuble enregistre en 2011 son plus haut niveau - Brève du 7 mars 2012

      Brève
      7 mars 2012

      Après le rebond observé en 2010, la tendance se confirme : le meuble reprend des couleurs. Ses ventes ont de nouveau progressé en 2011 (+ 2,5 %), pour atteindre 9,83 milliards d’euros.

      Le marché de l’ameublement va mieux et ses chiffres en témoignent : en 2011, ses ventes ont grimpé de 2,5 % en valeur et à surfaces évolutives, pour atteindre leur plus haut niveau depuis 1988 : 9,83 milliards d’euros. A périmètre constant, leur progression est toutefois plus modeste, puisqu’estimée à + 1,5 %. L’activité est en effet restée erratique tout au long de l’année, malgré sa croissance, indique la Fédération française du négoce, de l’ameublement et de l’équipement de la maison (Fnaem),
      En cause, les rebondissements successifs de la crise financière, qui ont fragilisé le moral des ménages, la forte animation du marché via de multiples animations commerciales, qui a concouru à faire baisser les paniers moyens, mais aussi la difficulté à maintenir dans les magasins une fréquentation satisfaisante toute l’année, notamment, précise la Fnaem, dans les circuits milieu/haut de gamme.

      Les circuits spécialisés progressent encore

      Les spécialistes cuisine échappent une fois de plus, semble-t-il, à ces contingences puisque leur activité progresse de 6,6 %, à 1,08 milliard d’euros. Belles performances, aussi, du jeune habitat (+4,8 %) et des spécialistes salon (+2,9 %). Globalement, la distribution spécialisée a, de nouveau en 2011, gagné du terrain au détriment des circuits non spécialisés (VàD, GSB, hypermarchés, solderies, etc.), pour désormais représenter plus de 87 % du marché de l’ameublement.
      Du côté des leaders du secteur, le classement reste inchangé. Ikea est toujours en tête avec 17,8 % de parts de marché (en hausse de 0,8 points par rapport à 2010), suivi de Conforama à 14,5 % (en baisse de 0,1 point) et de But à 10,3 % (en hausse de 0,3 points).
      Pour 2012, la fédération table sur une croissance des ventes du secteur de l’ordre de 2 %. Elle concède, toutefois, que le début d’année a été « poussif » et n’exclut pas un retournement au second semestre, malgré des intentions d’achat a priori bien orientées.

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