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      Multimédia, téléphonie : le boom des franchises high-tech

      Les produits high-tech envahissent nos quotidiens. Rien d’étonnant dès lors, à ce que des franchiseurs s’emparent du phénomène. Et déploient en réseau leur savoir-faire, sur les créneaux de l’informatique, du multimédia et de la téléphonie.

      L’informatique passe par la case franchise

      LDLC-Informatique-magasinEn 2012, le leader de l’informatique et du high-tech online LDLC.Com créait la surprise en annonçant vouloir développer un réseau national de magasins physiques, en franchise. Qu’avait à gagner un acteur si bien placé sur le web à risquer l’aventure du commerce physique ? « Pour répondre à toutes les typologies de clientèle, notre modèle doit devenir cross canal. Et la franchise est le meilleur moyen de le faire vite et bien », répondait alors Olivier de la Clergerie, directeur général du groupe. Sept ans plus tard, l’activité BtoC de LDLC.Com atteint 335,7 M€. Dont 59,9 M€ (contre 53,0 M€ en 2017-2018) imputables à ses 40 boutiques : 8 succursales et 32 franchises. Preuve que, conjugué par des indépendants, le commerce de produits high-tech version physique est une affaire qui roule.

      L’achat-vente, en pointe sur le multimedia

      La franchise n’a toutefois pas attendu cet ex-pure-players pour plonger dans les nouvelles technologies. Il y a plus d’une décennie, déjà, les acteurs de l’achat-vente cash faisaient de l’informatique, de la photo et de la hi-fi des rayons clé de leur concept. Et la tendance, de leur côté, n’a cessé de s’affirmer depuis, renforcée par l’essor du marché des tablettes et smartphones. Chez Easy Cash, le high-tech représente aujourd’hui autour de 50 % du chiffre d’affaires par magasin. Il est par ailleurs, avec les bijoux, au cœur du concept Cash Converters. Et Cash Express n’échappe pas au mouvement, qui en a fait l’une de ses activités phares, aux côtés d’autres plus classiques comme la culture ou le sport. Quant à Happy Cash, le challenger du secteur, il en a même fait sa spécialité, et l’unique crédo de son nouveau concept Happy Cash Services.

      La réparation de smartphones se professionnalise

      La téléphonie, tout particulièrement, intéresse les Smartphone-Easy-Cashenseignes. Et pour cause, la population étant désormais massivement équipée, d’outils par ailleurs de plus en plus haut-de-gamme. Selon le Crédoc, 75 % des Français possédaient ainsi un smartphone en 2018, proportion grimpant à 98 % pour les 18-24 ans. Selon leur stratégie, les enseignes d’achat-vente proposent soit la vente seule de ces smartphones, reconditionnés et garantis. Soit leur vente et leur réparation. La réparation de tablettes et smartphones qui, par ailleurs, est une spécialité pour de nombreux réseaux, succursalistes ou franchisés, le jeune Fix Phonia parmi d’autres.

      Et gageons qu’à l’avenir, les nouvelles technologies inspireront de nouveaux franchiseurs. Déjà, certains se lancent dans la réalité virtuelle, au service du sport ou du divertissement.

       

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