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      Une franchisée De Neuville témoigne - Brève du 15 avril 2016

      Brève
      15 avril 2016

      Il y a quelques mois, Laetitia Livarek ouvrait sa boutique franchisée De Neuville à Paris, mue par l’envie de travailler pour son propre compte et de porter un projet. Il est aujourd’hui en bonne voie.

      C’est une fin d’année inédite qu’a vécu Laetitia Livarek, en 2015. A mille lieues du repos auquel est ordinairement dévolue cette période, la dynamique quadra l’a passée rivée à son poste de travail, dix heures par jour et six jours sur sept. « Des semaines intenses, rapporte-t-elle. Mais qui en valaient la peine ! ». Car depuis fin octobre, l’ex-manager dans les Télécoms puis agent immobilier haut-de-gamme, est sa propre patronne. Et cela change tout.
       

      Un produit plaisir

      Même si Laetitia, issue d’une famille de commerçants, avait depuis un moment déjà l’envie de travailler pour elle, et de mener seule sa barque, son aventure débute véritablement en février 2015, au Salon des Entrepreneurs de Paris. Attirée par les métiers de bouche, et en particulier celui du chocolat, elle y rencontre les responsables de l’enseigne De Neuville. « Le contact a été très agréable. Les produits aussi m’ont plu : du chocolat français, et toute une gamme de dragées, glaces et macarons, pour contrer la saisonnalité de l’activité », raconte-t-elle. Afin d’appuyer cette première intuition, positive, la candidate visite plusieurs boutiques. Et, convaincue, débute son travail de recherche du bon emplacement et d’un financement bancaire.
       

      Trouver un local et un financement

      « Nous avons trouvé, ensemble, avec le directeur du développement, le local de 29 m² rue Poncelet que j’occupe aujourd’hui. Et c’est ensemble, aussi, que nous avons passé plusieurs heures à compter les passants pour nous assurer qu’il avait du potentiel ». Décrocher un financement sera moins évident. « Les banquiers analysent de très près votre dossier. Il est primordial de leur fournir des infos sur la santé financière du franchiseur, les chiffres de boutiques existantes, un prévisionnel complet et sérieux, qui n’omette aucun poste », témoigne la franchisée. Laetitia fait financer par la banque le droit au bail de 250 000 euros que réclame son cédant. Ses 150 000 euros d’apport personnel servent eux à régler tous les coûts inhérents au concept : droit d’entrée (15 000 €), travaux d’agencement de la boutique, équipement matériel, stock initial, besoin en fonds de roulement. Parallèlement, la créatrice suit trois semaines et demie de formation, « très concrète, notamment réalisée en magasin ». Puis reçoit le soutien d’une animatrice réseau pour terminer la décoration du magasin, la mise en place des produits et les opérations de communication locale.
       
      Le 30 octobre, c’est le grand jour. Laetitia ouvre les portes de son commerce et reçoit ses premiers clients. Bientôt, l’échéance des fêtes approchant, ils sont de plus en plus nombreux. « La fin d’année s’est très bien passée, malgré la quantité de choses à gérer. Ça a été une période difficile, mais très formatrice », souligne-t-elle. Il ne s’agissait pas de la louper, les franchisés De Neuville, comme tous leurs collègues spécialistes du chocolat, réalisent 50 % de leur chiffre d’affaires entre Noël et Pâques. Désormais sur les rails, Laetitia envisage de se verser un premier salaire en septembre.

      60 000 €
      Apport personnel
      15 000 €
      Droit d'entrée
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