Ancien franchisé dans la grande distribution, Miguel Pinto a rejoint le réseau Columbus Café en 2017. Avec son épouse, ils sont aujourd’hui à la tête de trois points de vente à l’enseigne de coffee-shops dans la région de Caen.
Avant de rejoindre Columbus Café en 2017, Miguel Pinto a déjà une solide expérience du commerce en franchise. Après avoir exercé le métier de boucher au sein d’une unité du groupe Carrefour, il devient franchisé du réseau Shopi (propriété de Carrefour) en 2000, à Verson (Calvados), dans le cadre d’un contrat de location-gérance. « Trois ans après, nous avons, avec mon épouse, signé avec l’enseigne un contrat de franchise, relate-t-il. Et nous sommes restés à la tête de ce magasin pendant 17 ans ». 2017 marque un tournant pour les deux entrepreneurs, avec la disparition du réseau Shopi. « Nous ne voulions pas continuer avec le groupe Carrefour sous une autre enseigne, explique Miguel Pinto. La direction du réseau s’éloignait de ses franchisés. Nous avions moins de marges de manœuvre en tant qu’affiliés à l’enseigne. Le temps était venu, pour nous, de nous lancer dans un nouveau projet entrepreneurial. »
« Je suis heureux d’avoir rejoint une enseigne jeune, dynamique, qui est à l’écoute de ses franchisés. Sa tête de réseau est très accessible. Elle ne pose pas de barrière avec ses franchisés. »
Le couple découvre l’enseigne Columbus Café dans un programmé télévisé : « Patron Incognito », sur M6. Miguel Pinto et son épouse tombent sous le charme du concept. « Nous avons contacté ses dirigeants, puis les avons rencontrés très rapidement, au Havre. » L’aventure avec Columbus Café peut alors commencer. Grâce au soutien d’un « bel apport personnel, très utile devant les banques », selon l’intéressé, Miguel Pinto ouvre son point de vente, de 120 m2, rue Saint-Pierre, à Caen. « Dès 2018, nous avons voulu en ouvrir un deuxième », reprend le franchisé. Lui et sa compagne se mettent en quête d’un nouveau local commercial, qu’ils dénichent dans le centre commercial caennais Les Rives de l’Orne. D’une superficie de 150 m2, il est inauguré l’année suivante, juste avant le premier confinement. « Ces deux points de vente sont très complémentaires, relève Miguel Pinto : alors que le premier, proche de l’université, attire 80 % d’étudiants et connaît des pics de fréquentation le midi et après 16h, le second, avec les boutiques et les cinémas du centre commercial, draine une clientèle plus familiale, au pouvoir d’achat plus élevé et tourne toute la journée. » Il reprend : « Je suis heureux d’avoir rejoint une enseigne jeune, dynamique, qui est à l’écoute de ses franchisés. Sa tête de réseau est très accessible. Elle ne pose pas de barrière avec ses franchisés. »


