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Stéphane Gueyraud, Franchisé, Marché aux Affaires
« Marché aux Affaires s’implante souvent là où les autres enseignes ne vont pas, c’est-à-dire dans les petites villes, en zone rurale », raconte Stéphane Gueyraud, franchisé de l’enseigne de bazar discount à Lambesc, dans les Bouches-du-Rhône.
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Sommaire
- Et justement, pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre l’enseigne ?(00:19)
- D’accord. Et comment avez-vous eu connaissance de l’enseigne marché aux affaires ? Comment vous avez découvert ?(00:49)
- D’accord. Vous n’aviez jamais été franchisé auparavant ?(01:49)
- D’accord. Et à quel moment est née l’idée ? C’était une création de magasin marché aux affaires ?(02:00)
- Comment est-ce que vous avez choisi votre ville d’implantation et trouvé votre local ?(02:35)
- D’accord. Quel investissement il faut prévoir en général pour ouvrir un magasin Marché aux Affaires ?(03:34)
- Quand vous êtes porté candidat pour devenir franchisé, selon vous, qu’est-ce qui a fait que le franchiseur a été convaincu par votre profil ?(04:03)
- C’était un métier nouveau pour vous. Comment avez-vous été formé à ce nouveau métier ?(04:40)
- D’accord. Entre la signature de votre contrat de franchise et l’ouverture de votre magasin, il s’est écoulé combien de temps?(05:31)
- D’accord. Vous avez signé une fois le local trouvé finalement.(05:43)
- D’accord. Et comment s’est passé le démarrage du magasin?(06:09)
- C’est un magasin qui fait quelle surface ?(07:06)
- D’accord. Et qui emploie combien de personnes ?(07:13)
- Et est-ce que vous avez d’autres projets avec l’enseigne éventuellement ?(07:29)
- Et justement, pour finir, quel conseil pourriez donner à quelqu’un qui souhaiterait, comme vous, devenir franchisé dans le secteur du bazar discount ?(07:59)
Stéphane Gueyraud, bonjour. Vous êtes franchisé marché aux affaires à Lambesque. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise Magazine.
Merci à vous. Ça me fait très plaisir aujourd’hui d’être avec vous pour parler de mon expérience et du marché aux affaires.
Et justement, pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre l’enseigne ?
Alors moi, je viens de la grande distribution. Voilà, j’ai travaillé une dizaine d’années chez Casino. Voilà, j’étais dans les rayons électroménagers. J’ai également travaillé dans tout ce qui est des magasins de vêtements, chaussures, etc. J’ai également été à mon compte, j’ai tenu pendant 7 ans une librairie, papeterie de presse. Voilà, mon expérience professionnelle.
D’accord. Et comment avez-vous eu connaissance de l’enseigne marché aux affaires ? Comment vous avez découvert ?
Alors, l’enseigne marché aux affaires, ça faisait un petit moment que je la suivais parce qu’en fait, c’est vrai que j’ai racheté une presse en 2007, presse papeterie, librairie. Et c’est vrai qu’au bout de 5-6 ans, je voyais un petit peu que ce marché-là était en train de décliner. Donc, je me suis mis un petit peu à la recherche d’un nouveau business comme on dit. Et c’est vrai que j’ai toujours eu une petite sensibilité pour le bazar discount. Ma mère m’ayant mené quand j’étais petit, on allait chez l’enseigne Maldan qui n’existe plus à l’heure actuelle. Et c’est vrai que ma mère était très friante de ce genre de magasin. Donc, c’est vrai que j’ai eu cette idée-là. En plus, c’est vrai qu’il y a énormément de produits pour la maison. On a énormément de diversité. Et donc, c’est vrai que je me suis dit pourquoi pas aller dans cette direction. Et c’est vrai que l’enseigne marché aux affaires, ça faisait quelques années que je la suivais et j’ai sauté le pas.
D’accord. Vous n’aviez jamais été franchisé auparavant ?
Jamais franchisé. J’ai eu librairie, papeterie de presse à mon compte personnel sans franchise.
D’accord. Et à quel moment est née l’idée ? C’était une création de magasin marché aux affaires ?
Voilà, c’est une création de magasin marché aux affaires. On l’a ouvert en 2018, le 3 décembre. Voilà. Donc, ça fait sept ans aujourd’hui que je suis franchisé marché aux affaires. Très heureux parce que c’est vrai que c’est une enseigne qui est de proximité, qui est familiale, où on est vraiment accompagné. On a un pôle d’acheteurs, les trois frères Géaglide, qui nous proposent vraiment de très bons fournisseurs, qui négocient vraiment bien les prix pour nous. Et c’est un plaisir vraiment d’être dans cette enseigne.
Comment est-ce que vous avez choisi votre ville d’implantation et trouvé votre local ?
Alors moi, je suis originaire des Bouches-du-Rhône. Moi, j’étais sur Aix. Je suis resté pas mal d’années sur Aix ou même aux alentours d’Aix. Donc, c’est vrai que j’ai pas mal galéré pour pouvoir trouver un emplacement parce que c’est vrai qu’il faut des locaux assez grands, donc entre 500 minimum jusqu’à 1000 mètres carrés. Dans le sud, dans ma région, dans mon département, ce qui n’est pas évident par rapport aux tarifs des loyers proposés. Donc, c’est vrai que j’ai mis quand même pas mal de temps. On a mis en gros entre minimum deux, trois ans pour y arriver. Voilà, ça a été vraiment difficile. Mais finalement, on a trouvé Lambesque. M. Lévy, le développeur de la franchise Marché aux Affaires, m’a proposé Lambesque. Et c’est vrai que Lambesque, c’est vraiment une petite ville à taille humaine. C’est un endroit où vraiment je m’épanouis et où finalement je me trouve très bien. Donc, c’est une réussite.
D’accord. Quel investissement il faut prévoir en général pour ouvrir un magasin Marché aux Affaires ?
L’investissement, il faut à peu près, je vais dire entre 10 et 20 % d’apport personnel. Il faut minimum, je pense, pour ouvrir un magasin Marché aux Affaires à l’heure actuelle, entre 80 et 100 000 euros minimum. Mais il vaut mieux avoir un petit peu plus parce que c’est vrai qu’on a toujours des aléas pour l’ouverture, des choses qu’on ne pense pas. Donc, oui, minimum, je pense, entre 100 et 120 000 euros pour pouvoir ouvrir un Marché aux Affaires. C’est le minimum d’apport personnel.
Quand vous êtes porté candidat pour devenir franchisé, selon vous, qu’est-ce qui a fait que le franchiseur a été convaincu par votre profil ?
C’est vraiment, je pense, une envie d’aller dans ce domaine. C’est vrai que j’avais vraiment potassé. Je suis allé voir d’autres enseignes, Centre Accor, Bazarlande. J’arrivais vraiment avec quelque chose qui était mûrement réfléchi et avec même une étude de marché que j’avais fait moi personnellement, etc. Donc, Monsieur Lévy a vu que j’étais vraiment motivé. Je l’ai relancé à plusieurs reprises. Donc, je pense que c’est ça qui l’a convaincu de mon potentiel.
C’était un métier nouveau pour vous. Comment avez-vous été formé à ce nouveau métier ?
C’est un métier nouveau pour moi. Après, moi, quand j’avais ma presse librairie papeterie, je faisais quand même pas mal de petits articles de bazar, si vous voulez, pour la décoration. Donc, en fait, oui, ça a été un nouveau secteur pour moi. Par exemple, sur le bricolage, sur la peinture, c’était des domaines d’activité que je ne connaissais pas du tout. Mais c’est vrai qu’on a eu une très, très bonne formation par le Marché des Affaires. J’ai passé quelques semaines au magasin A.U.I., un magasin qui permet la formation des franchisés. Et c’est vrai qu’ils m’ont montré quand même pas mal de choses au niveau du secteur d’activité. Je suis passé dans tous les rayons. J’ai fait des approvisionnements, j’ai fait des réceptions de produits. Donc, c’est vrai que quand j’ai commencé, j’avais quand même une certaine approche. Je connaissais quand même les produits.
D’accord. Entre la signature de votre contrat de franchise et l’ouverture de votre magasin, il s’est écoulé combien de temps?
Moi, j’ai signé au mois de septembre et on a ouvert en décembre.
D’accord. Vous avez signé une fois le local trouvé finalement.
Voilà, on a vraiment signé. C’était vraiment la fin quand j’étais en formation pour faire les achats de l’enseigne. On était directement au siège A.U.I. Donc, achat de l’enseigne, formation sur le terrain, dans un magasin pilote. Et c’est là qu’on a signé le contrat de franchise et j’ai démarré à peu près le 8 décembre. Donc, on a compté à peu près deux mois. Entre un mois et demi, deux mois pour finaliser.
D’accord. Et comment s’est passé le démarrage du magasin?
Le démarrage, s’est très bien passé. Par contre, c’est vrai, une petite appréhension la veille, pas très bien dormi la veille en me disant peut-être faire un cauchemar en disant que le lendemain, peut-être que je n’aurais aucun client qui rentrerait dans le magasin. Et finalement, quand on a ouvert à 9h30, il y avait des clients dehors. Ça a été la folie. C’est simple. Pendant deux mois, j’ai eu la caisse à pas désemplis. J’avais du monde jusqu’au fond du magasin, quoi. Des queues, des queues, des queues. Ça a été vraiment quelque chose de formidable. On était vraiment attendu sur Lambesque. Et c’est vrai que ce genre de magasin, c’est quand même, ça attire beaucoup de personnes. En sachant qu’on avait fait un petit peu de publicité à l’avance, on avait mis des banderoles qu’on ouvrait à telle date. Et c’est vrai que les gens, ça a un petit peu fait d’émulation et les gens étaient vraiment friands. Et le jour J, ça a été vraiment la folie. Pendant la première semaine, c’était vraiment énorme. On n’a pas désemplis du matin à 9h30 jusqu’au soir 19h à la caisse, ça ne s’arrêtait pas.
C’est un magasin qui fait quelle surface ?
Moi, j’ai un des plus petits magasins de l’enseigne, enfin dans les 4 ou 5. Moi, je fais 560 mètres carrés.
D’accord. Et qui emploie combien de personnes ?
Alors moi, j’ai 4 employés. J’ai 3 employés en 30 heures, une employé 20 heures. Et j’ai une personne actuellement qui m’aide un petit peu sur l’administratif, qui est en mi-temps, qui fait une vingtaine d’heures.
Et est-ce que vous avez d’autres projets avec l’enseigne éventuellement ?
J’ai d’autres projets, mais c’est vrai que pour l’instant, ça reste un petit peu comme je vous le disais précédemment. Dans ma région, dans mon département, c’est vrai que les loyers sont très élevés et il n’y a pas beaucoup d’opportunités parce qu’à savoir que pour monter un marché aux affaires, il faut quand même avoir des ratios qui tiennent la route. On ne peut pas malheureusement prendre un loyer trop élevé, sinon on ne gagne pas sa vie. Et puis, c’est très difficile.
Et justement, pour finir, quel conseil pourriez donner à quelqu’un qui souhaiterait, comme vous, devenir franchisé dans le secteur du bazar discount ?
Déjà, il faut avoir la sensibilité avec le produit de la maison. Moi, c’est simple. Chaque fois que je reçois un carton, je suis comme un enfant à Noël. On a l’impression de recevoir des cadeaux. Moi, je suis très sensible aux produits. Je commande beaucoup de nouveautés. En fait, il faut aimer déjà le produit, aimer aussi le relationnel avec les clients, aimer la proximité. Parce que c’est vrai que nous, en parlant de Lambesque, c’est beaucoup une clientèle de proximité parce que le marché aux affaires s’implante souvent dans des endroits où d’autres magasins ne s’implantent pas, c’est-à-dire dans le domaine rural, etc., dans des endroits où les autres enseignes ne vont pas. C’est un domaine d’activité qui est très intéressant. Et moi, si je devais dire à quelqu’un qui voulait rentrer au marché aux affaires, je lui dirais d’y aller à 100 %. C’est vraiment une enseigne qui est très attractive et surtout une enseigne familiale où vraiment, on a une équipe qui est là. On peut parler de tout. On peut discuter même avec les trois PDG de l’enseigne. On a leur numéro de téléphone. On peut les appeler. Je ne regrette pas du tout mon choix et je re-signerai sans problème encore aujourd’hui.
Stéphane Gueyraud, un grand merci pour votre témoignage. Je rappelle que vous êtes franchisé marché aux affaires à Lambesque et que votre actualité, celle de votre enseigne du moins, est à retrouver sur les sites Franchise Magazine et AC Franchise.
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