Être franchiseur aujourd’hui, c’est aussi être un leader moderne : avoir une vision claire, savoir l’incarner, et construire un écosystème qui profite à tous.
À 17 ans, un accident de moto aurait pu tout arrêter. Vous en avez fait une force : un mental, un sens du collectif et une vision de l’équilibre vie pro / vie perso qui marquent encore le leadership d’Ewigo. Comment transforme-t-on un drame personnel en moteur entrepreneurial ?
Cela m’a appris deux choses : on ne choisit pas ce qui arrive, on choisit ce qu’on en fait ; et rien de durable ne se construit seul. On m’a dit que je ne remarcherais pas : j’ai passé un an en centre de rééducation avant de pouvoir à nouveau être debout, je marche désormais à l’aide d’une canne depuis 30 ans. Cette détermination m’a donné une boussole pour tout le reste : garder la tête froide, transformer les obstacles en méthode, et rester digne dans l’effort.
D’où vient votre envie de créer votre propre cadre de jeu ?
De mes expériences d’avant Ewigo, j’y ai appris l’exigence et vu des manquements : j’ai voulu un cadre qui garde le meilleur et corrige le reste. Je préfère des « génies solidaires » au « génie solitaire » : on partage, on s’améliore, on avance ensemble. C’est ce que je pratique et ce que je démontre : semaine de 4 jours au siège, co-construction avec le réseau, décisions analysées plutôt qu’émotionnelles. Et j’ai aussi saisi cette opportunité de dévoiler tout cela sur les réseaux sociaux. Je mets cette vision au vu de tous, leadership, dépassement de soi et innovation. Et vous savez pourquoi ? Parce que je suis convaincu que le rôle d’un leader moderne, c’est d’éclairer la route.
Vous parlez de leader moderne, capable de sortir du cadre. En quoi cette vision singulière est-elle inspirante pour ceux qui rejoignent Ewigo ?
Sortir du cadre, mais pour répondre à de vrais besoins sur le marché. C’est mon fil rouge : consommateurs mieux protégés, entrepreneurs mieux accompagnés. Lorsque je prends la parole dans les médias ou sur les réseaux sociaux, c’est dans un seul but : donner des repères et des outils pour permettre aux gens de réussir sans se renier. J’ai élevé seul mes trois filles en même temps que je construisais Ewigo : ça oblige à la rigueur, à l’efficacité et à la solidarité. Ceux qui nous rejoignent ne cherchent pas seulement une enseigne : ils cherchent une direction, une stratégie, une culture qui fait grandir. C’est exactement ce qu’on propose chez Ewigo.
Ewigo est le réseau leader de la vente de véhicules d’occasion entre particuliers en France. Concrètement, qu’est-ce que le modèle Ewigo a changé pour vos franchisés et pour les automobilistes ?

En franchise, les candidats ne rejoignent pas seulement une enseigne : ils suivent la vision de son fondateur. Quelle est la vôtre, et comment s’exprime-t-elle auprès de vos franchisés ?
Par de l’exigence et de la co-construction. On recrute des entrepreneurs, pas des exécutants : process éprouvés, formation initiale et continue, outils digitaux, animation de réseau de proximité, commissions de franchisés, et innovations testées sur le terrain avant déploiement. Mais être franchiseur aujourd’hui, c’est aussi être un leader moderne : avoir une vision claire, savoir l’incarner, et construire un écosystème qui profite à tous. C’est le sens d’Ewiglass, Ewilease, Biwiz, Beweal… des relais qui renforcent notre activité principale Ewigo. J’innove en permanence, car je sais que rester immobile, c’est se faire dépasser par le marché. Ma boussole reste le besoin client ; notre promesse, que chacun réussisse sans se renier. Avancer vite, mais toujours ensemble.
Quel type de profil peut encore rejoindre Ewigo aujourd’hui ?
Nous avons déjà plus de 200 points de vente et un maillage solide, mais il reste encore une centaine de zones stratégiques, en agglomération comme en zones périurbaines. Ce que nous recherchons, ce ne sont pas des CV parfaits ni des profils forcément issus de l’automobile. Nous recherchons des futurs entrepreneurs qui veulent se lancer sans partir de zéro : des personnes avec le sens du commerce, du management et surtout l’envie de s’investir dans un projet de vie solide. Chez Ewigo, vous êtes indépendant mais jamais seul. Vous bénéficiez d’un modèle qui a fait ses preuves, d’un accompagnement permanent et d’une communauté d’entrepreneurs soudée. C’est une opportunité exigeante, mais qui transforme tout un projet de vie.
À 17 ans, un accident de moto aurait pu tout arrêter. Vous en avez fait une force : un mental, un sens du collectif et une vision de l’équilibre vie pro / vie perso qui marquent encore le leadership d’Ewigo. Comment transforme-t-on un drame personnel en moteur entrepreneurial ?
