Thierry Boucher s’est lancé dans l’aventure Cash Express en 2012. Avant que son fils, Brice, et sa fille, Laura, le rejoignent pour constituer, en Normandie, une multi-franchise de quatre unités.

Informaticien de formation et de métier, il décide se lancer à son compte
Amateur de brocantes et de ventes aux enchères, Thierry Boucher découvre en 2011 sur un salon de la franchise le concept de l’achat et de la vente de biens d’occasion. « J’y ai rencontré trois enseignes, et mon choix s’est vite porté sur Cash Express », se rappelle-t-il. Après avoir négocié son départ chez Bopack et s’être constitué un jolie bas de laine, il se lance dans l’aventure. Pourquoi Cash Express ? « D’abord, pour l’aspect humain, explique-t-il. Dès le début, j’ai senti des dirigeants un grand sens du contact et de l’écoute. Et cela s’est confirmé par la suite. Deuxièmement, l’investissement pour se lancer était raisonnable (soit 80 000 euros). » Et quel regard porte-t-il aujourd’hui de cette collaboration entre franchiseur et franchisé ? « Ce que j’apprécie chez Cash Express, c’est notre indépendance. Certes, nous sommes obligés de suivre les recommandations de la tête de réseau. Mais nous ne sommes pas tenus de dire « amen » à tout ! »
« Dès le début, j’ai senti des dirigeants de la franchise Cash Express
un grand sens du contact et de l’écoute. Et cela s’est confirmé par la suite. »
Une première ouverture à Elbeuf au succès immédiat

En 2020, celui-ci devrait réaliser, selon Thierry Boucher, un chiffre d’affaires de 4 millions d’euros. « Le concept de l’achat/vente de biens d’occasion reste très porteur, même si la crise du Covid-19 nous a impactés. Sans compter l’impact négatif des manifestations de l’hiver dernier et de la crise des gilets jaunes… » Il ajoute : « L’orage du confinement est passé, mais le niveau de la reprise n’est pas celui que nous espérions. Heureusement, nous avons une bonne trésorerie. » Au point d’ouvrir un cinquième magasin ?


